Playa Azul de V.H. Rascón Banda

C’est une de ses pièces la plus allégorique. Les personnages et les situations sont tout-à-fait vraisemblables, mais ils le sont en tant que représentations du contexte précis des années quatre-vingts. L’ingénieur, politicien négligé par son partie, veut reconstruire sa carrière et sa fortune. Pourtant son hôtel sera démoli en raison de la construction de nouvelles routes. Il fait venir ses fils et sa femme pour leur demander du support.

Máscara vs. Cabellera de V.H. Rascón Banda

Apolo García, fils d’un volcan et d’une mortelle, est un de meilleurs catcheurs mexicains. Il appartient au group de bons (los técnicos), ceux qui respectent les règles sur le ring. Apolo veut changer l’ambiance syndicale dans le milieu du catch professionnel. A côté de son activité sportive, il organise un groupe de collègues pour faire entendre leurs initiatives : un traitement plus digne, des services de santé et la possibilité de réaliser des études.

Manos arriba de V.H. Rascón Banda

Un couple de classe moyenne loue une chambre à un étudiant dans son petit appartement HLM. Le mari, modèle de macho, a un poste de fonctionnaire, mais bientôt il perde son travail sans l’annoncer à sa femme. En outre, il dépense les économies de son beau-frère qui envoie de l’argent des Etats-Unis.

Le court métrage V

Le scénario sera fait d’après une pièce de théâtre. Pourtant, le résultat ne sera pas du théâtre, ce n’est pas possible en tout cas : le format, le public, le message, tout change. J’imagine déjà le mal qu’on aura pour l’adaptation à quelques minutes d’images en mouvement. Je suis très enthousiasmé.

Les couples mixtes

Ce vendredi 12 à l’Hôtel de Ville, il y aura un bal très spécial : les amoureux au ban public.

Le samedi 13, le bal aura lieu à Montpellier et Marseille.

La vie dans un couple mixte n’est pas évident, surtout quand les barrières légales ne soutient pas les couples. Il y en a qui doivent subir une série d’obstacles pour rester ensemble.  Vous pouvez cliquer pour connaître un peu plus de ce mouvement.

Le théâtre au service du FLE

L’hiver persiste, il neige encore aujourd’hui. Pourtant ce matin était plus doux, un peu de pluie. Désormais  la neige recouvre la visibilité de carreaux de la fenêtre. Pendant que le blanc coloriage à l’extérieur se termine, je regarde quelques extraits de pièces sur le site de tv5 monde. Les extraits font partie  de la collection COPAT où on peut voir des très bonnes représentations au niveau de l’enregistrement. Bien sûr qu’il ne sera jamais une expérience « théâtrale » complète, mais je vous assure qu’il vaut bien la peine de les voir chez vous, sur votre canapé.

J’ai bien aimé, mais…

Ce week-end on a fait une sortie cinéma. C’était un grand spectacle à l’américaine au-dessus de la moyenne.  De ce côté-là, il n’y a pas grand chose à dire. Par contre, je ne sorts pas encore de mon étonnement. Je suis allé à la salle 23 et il y avait encore au moins dix salles en plus. 35 salles dans un cinéma. J’avais vu un cinéma avec 18 salles et ça me semblait déjà monstrueux. Evidemment c’est une question d’habitude. Je fréquent les petites cinés où il reste toujours des places libres. Dans ma salle 23, les cinq-cents places, d’après mon approximation, étaient occupées. Comment faire pour réunir autant du monde et synchroniser leurs goûts ? Autre chose. Je pense sérieusement à suivre le conseil d’aller faire un tour pendant la publicité, même pendant les bandes d’annonces. Je n’ai pas besoin d’une si forte campagne publicitaire qui me choque à fond. Le résultat est le contraire, je déplore tout ce qui me sera montré. Pourtant, je ne suis pas sortie hier soir, mais j’ai fermé les yeux. Heureusement, je n’ai pas oublié des les ouvrir pour voir le film qui m’a bien plu. Il faut dire aussi qu’i s’agissait d’une sortie avec des amis qui me sont chers. Tous les détails sont importants dans la considération globale, mais il est difficile de apprécier les détails dans l’énormité.

La fiera del Ajusco de V. H. Rascón Banda

La pièce est inspirée d’un fait divers[1]. Dans un premier temps, elle était titrée « les raisons d’Elvira ». La protagoniste, une femme de couche humble, s’installe dans une bidonville dans les environs de Mexico. Elle accompagne sa sœur et son beau-frère.

Le court métrage IV

Et si on faisait cela ou cela? Je commence à apercevoir le cinéma comme un processus d’adition à risque de devenir infinitésimal. Heureusement, le temps ne le permettra. Si cette semaine tout le monde est d’accord, on aura finalement une idée plus précise pour le scénario. De rien à une idée, c’est déjà beaucoup.

Nomination

Pour la plus part de cas, deviner la nationalité de quelqu´un dans une langue étrangère n’est pas si compliqué que cela, sauf avec Nemecko, Niemcy, Németország. Trois manières différentes de dire Allemand en tchèque, polonais et hongrois, respectivement.

Basha, un ami Serbe, m’avait expliqué que ce mot slave (les Hongrois l’ont emprunté) désigne quelqu’un qui ne sait pas parler, quelqu’un de barbare, ou qui parle dans une langue incompréhensible.

Après, et une fois les ponts faits, on s’amuse à découvrir l’histoire de mots.